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Escape into the sounds and textures of summer and feel your senses come alive with warmth and kinetic energy.
Get inspired by the personal style and stories of DJs Bambii, Miko So?, Pierre Kwenders, and Yu Su—and discover their curated playlist you can enjoy all season long.
Évadez-vous à travers les sons et les textures de l’été. Sentez vos sens s’animer sous le coup de la chaleur et de l’énergie cinétique.
Laissez-vous inspirer par le style personnel et les anecdotes des DJ Bambii, Miko So ?, Pierre Kwenders et Yu Su. Tout au long de la saison, dégustez leur liste de lecture soigneusement concoctée.
DJ and producer Bambii made a name for herself in Toronto’s underground club scene with her genre-bending and -blending sets and celebratory queer-Caribbean JERK party series before going global. From touring across Europe and Asia, to producing original music (like 2021’s Twitch EP), her star continues to rise—and she’s taking us all along for the ride. Avant d’être connue dans le monde, la DJ et productrice Bambii s'est fait un nom sur la scène nocturne de Toronto avec ses choix musicaux qui mélangent les genres et sa série de fêtes queer-caribéennes JERK. Des tournées à travers l’Europe et l’Asie à la production de musique originale (comme son micro-album Twitch en 2021), son étoile ne cesse de monter et elle nous embarque dans son aventure.
On how she got her start…
“I started DJing about eight years ago and I honestly just fell into it. I played a friend's bar one night, randomly, and it wasn't technically DJing, I was running tracks off a laptop. But I remember in that moment feeling I had liked it. I dropped out of university and wasn't sure what I wanted to do—I just couldn't pinpoint an interest. It was kind of the one moment where I was like, ‘I think I like this.’ And then I started to take it seriously.”
Sur ses débuts…
« J’ai commencé comme DJ il y a environ huit ans et, honnêtement, je suis tombée dedans. J’étais au bar d’un ami un soir, par hasard. Techniquement, je n’étais pas DJ. Je ne faisais que faire jouer des pistes à partir d’un ordinateur portatif. Mais je me souviens tout simplement d’avoir adoré ce moment. J’avais abandonné l’université et je ne savais pas vraiment quoi faire, je n’arrivais pas à trouver ce qui me branchait. Et c’est à ce moment-là que je me suis dit « je crois que j’aime ça ». Et j’ai commencé à prendre ça au sérieux. »
On her personal style…
“I feel like I kind of dress all over the place. And I feel like working as an artist, I'm constantly in costumes rather than dressing as myself, which is cool. But I think kind of pushing into that idea that I can look any way that I want at any given time, is like I've given myself more permission over the years to do that. Where I probably was a bit more conservative before.”
Sur son style personnel…
« J’ai l’impression de m’habiller n’importe comment. Je trouve qu'en tant qu'artiste, j’ai plus tendance à me costumer qu’à afficher ma vraie personnalité, ce qui est cool. Mais j’aime l’idée que je peux m’habiller comme je veux, quand je veux. Je me suis donné cette permission au fils des ans. Avant, j’étais plutôt conservatrice. »
On how Toronto has influenced her…
“Toronto is so diverse. There's a huge immigrant population, a huge Caribbean population…Just in street style alone or youth culture, everyone is sort of contributing inadvertently to how people dress and the music that we listen to. I think Toronto kind of has an identity crisis at moments though. We try to be like New York. We try to be like some other American city, so we're still figuring out what feels like Toronto. But I would say after all the travelling I've done, there's something specific about it. It's on the come up. I can't put my finger on it yet because Toronto's new, but it has an influence [on me] for sure.”
Comment Toronto l’a influencée…
« Toronto est tellement hétéroclite. Elle compte une importante population queer antillaise… Grâce au style urbain ou la culture des jeunes, tout le monde contribue involontairement aux tendances vestimentaires et musicales. Mais je crois que Toronto traverse une crise identitaire par moment. Nous essayons de ressembler à New York. Nous voulons être comme une autre ville américaine, donc nous sommes toujours en train de chercher ce qui nous ressemble. Après tous les voyages que j’ai faits, je peux dire qu’il y a assurément quelque chose de spécial à propos de Toronto. La ville est en devenir. Je n’arrive pas à mettre mon doigt dessus encore, car elle est toute jeune, mais elle a assurément une influence [sur moi]. »
WOMEN’S PICKS
Thirteen-year-old Tomiko Mariah aka DJ MIko So? may be young but she’s already had a career that many would be envious of—performing in her hometown of Vancouver at Fvded In The Park, Canucks’ games, and more. A dedicated turntablist and hip hop head, her sets draw on old school hip hop and rap beats while experimenting with other genres. We can’t wait to see how her skills and sound continue to evolve and keep us dancing. La Vancouvéroise de 13 ans Tomiko Mariah alias DJ MIko So? est peut-être jeune, mais elle a déjà une carrière à faire pâlir d’envie, se produisant à Fvded In The Park, aux parties des Canucks, et davantage. Platiniste hors pair, elle s'inspire des rythmes hip-hop et rap de la vieille école tout en expérimentant d'autres genres. Nous avons hâte de voir comment ses prouesses et sa signature sonore continueront à évoluer et à nous faire bouger.
On how she learned to DJ…
“When I was nine, I got my first turntable. And then after that I went to classes. Shout out to my whole DJ community at Table Tutors. And a special shout out to my DJ teacher, DJ Relic. They're the ones that helped me the whole way, helped me improve and learn new skills.”
Sur ses débuts…
« J’ai reçu mon premier tourne-disque à l’âge de neuf ans. Puis, j’ai suivi des cours. Un grand merci à toute ma communauté de DJ à Table Tutors. Et un merci tout particulier à mon prof, DJ Relic. Ce sont eux qui m'ont aidée depuis les débuts, qui m'ont permis de m'améliorer et d'apprendre de nouvelles compétences. »
On her personal style…
“My personal style is more baggy and old school, 2000s style—I like to feel comfortable while I perform and not be stuck in tight clothing. My go-to is to wear sunglasses because you never get a bad photo with sunglasses on. I just got this new accessory, which is my grill—its custom made to how I like it and enhances my smile. I just love smiling.”
Sur son style personnel…
« J’aime la mode ample et rétro des années 2000. J’ai besoin d’être confo quand je joue, je n’aime pas les vêtements serrés. Ma signature c’est de porter des lunettes de soleil, impossible de prendre une mauvaise photo avec des verres fumés. Je viens d’avoir ce nouvel accessoire, mon grillz. Il est fait sur mesure selon mes préférences. Il met en valeur mon sourire, j’adore sourire. »
On old school essentials…
“If you want to get into old school, you need the top three: Tupac, Biggie, and Nas. Who else? Oh, 50 Cent, Snoop Dogg, some Eminem. Honestly, those are the mains.”
Sur les incontournables de la vieille école…
« Pour les néophytes du hip-hop de la vieille école, vous devez absolument découvrir les trois meilleurs : Tupac, Biggie et Nas. Qui d’autre? 50 Cent, Snoop Dogg, Eminem (pas tout). Franchement, ce sont les principaux. »
Get to Know the DJs Faites la connaissance des DJ
Our talented cast answers questions about their careers, what influences them, the importance of creating a vibe, and more. Notre brochette talentueuse répond aux questions sur leur carrière, leurs influences, l’importance de créer une ambiance et davantage.
Self-described “regular guy” Pierre Kwenders is, we have to say, anything but. The Congolese-Canadian, Montreal-based DJ, singer, and ambiencer creates music—like his latest album José Louis And The Paradox Of Love—and lunar-based events in Canada and abroad with the Moonshine collective. Co-founded with designer Hervé Kalongo, the collective celebrates African culture and music while crossing the boundaries of language and geography. Même s’il se décrit comme un « gars ordinaire », Pierre Kwenders est justement tout sauf cela. Ce DJ, chanteur et ambianceur congolais vivant à Montréal réalise de la musique - comme son dernier album José Louis And The Paradox Of Love - et des événements lunaires au Canada et à l'étranger avec le collectif Moonshine. Cofondé avec le designer Hervé Kalongo, le noyau créatif célèbre la culture et la musique africaines tout en effaçant les frontières linguistiques et géographiques.
On how he started in the industry...
“I started singing first and then, being an independent artist, I needed some money to tour. I knew how to DJ a little bit, but I needed to get better at it. And it's through my collective, Moonshine, that I started DJing because I needed to get that going. Then it came just like that.”
Sur ses débuts comme DJ…
« J’ai commencé à chanter, puis comme j’étais un artiste indépendant, j’ai eu besoin d’argent pour partir en tournée. Je savais un peu comment faire le DJ, mais j’avais besoin de m’améliorer. J'ai en fait débuté par le biais de mon collectif, Moonshine, parce que je devais aller de l’avant vous voyez. Et c’est comme ça que ça s’est passé. »
On how Montreal has influenced him…
“Montreal is definitely the city that influences my music the most, because that's where I started everything, singing and DJing and all that. Of course, in my music, there's a lot of influence from Congo because obviously I was born in Kinshasa and moved here when I was a teenager. So, that culture is still part of me. I don't think it will ever go away. It's important for me to showcase where I'm from and where I currently live, which is Montreal, as a whole, you know?”
Comment Montréal l’a influencé…
« Montréal est manifestement la ville qui influence le plus ma musique parce que c’est à cet endroit que tout a commencé pour moi. Le chant, les prestations de DJ et le reste. Comme je suis né à Kinshasa et que j’ai déménagé ici quand j’étais adolescent, l’influence du Congo est perceptible. Cette culture fait encore partie de moi. Et je crois que ce sera toujours le cas. C'est important pour moi de mettre en valeur l'endroit d'où je viens et où je vis actuellement, c'est-à-dire Montréal, dans son ensemble, vous comprenez ? ».
On his style icon…
“One of my fashion icons is also my music icon. Papa Wemba was a Congolese artist who was known for his fashion and for his music. That's from Congo, but for an international one, if I can name someone, I'll say Prince. I love Prince's swag, he had something. There was not much going on with his style, but he knew how to have little pieces that would take his look to another level.”
Sur ses icônes de style…
« Une de mes icônes de mode est aussi mon icône musicale. Papa Wemba était un artiste congolais célèbre pour son style et sa musique. Ça, c’est au Congo. Mais si je dois choisir une icône sur la scène internationale, c’est Prince. J’adore le style de Prince, il était unique. Il n’y avait rien de particulier en soi, mais il savait comment tout agencer pour sublimer son look. »
MEN’S PICKS
Kaifeng-born, Vancouver-based Yu Su is a producer, musician, and DJ known for her ambient, dub-inflected electronic sound that merges the natural with the synthetic. Through her bié Records, a Beijing label co-founded with former members of Vice China, Yu Su has released a debut album—the personal Yellow River Blue—while also creating a platform to showcase some of China’s experimental artists, connecting audiences from different parts of the world. Née à Kaifeng (Chine), la Vancouvéroise Yu Su est une productrice, compositrice et DJ connue pour sa signature sonore électronique aux accents dub qui fusionne le naturel et le synthétique. Elle a sorti un premier album très personnel Yellow River Blue, par l'intermédiaire de bié Records, son label cofondé à Beijing avec d'anciens membres de Vice China. Yu Su a aussi réalisé une plateforme permettant de présenter certains artistes expérimentaux chinois et de mettre en relation des publics de différentes régions du monde.
On how Vancouver has influenced her…
“If I didn't move to Vancouver, would I be doing what I do now? Probably yes, at some point, but the move there and being introduced, like going to that particular party, to someone like me, who's never even been to a party growing up in China, just seeing what effect music can do to people and how much that made me want to create something like that. I think that was crucial. Because I could have moved somewhere else where the music that was going on in that different city didn't connect to me right away, but it did in Vancouver.”
Sur la façon dont Vancouver l’a influencée…
« Si je n’avais pas déménagé à Vancouver, est-ce que je ferais ce que je fais maintenant? Probablement, mais déménager ici, être présentée et aller à cette fête, pour une personne comme moi qui a grandi en Chine et qui n’a jamais été à une fête, juste voir l’effet qu’a la musique sur les gens m’a donné envie d’en créer. Car j’aurais pu m’installer ailleurs où la musique ne m’aurait pas immédiatement interpellée, comme c’était le cas à Vancouver. »
On her personal style…
“I think to me style and fashion is more spontaneous. I don't particularly use styles and materials to express myself. It's garments on top of other things. If I feel in a particular mood going to perform in a club or a festival, I would maybe choose something that I don't usually wear because there's so many different sides of me. I mainly write music, and when I write music, I just wear my pajamas at home. I wear a lot of linen at home. There is nothing fun and fancy at home.”
Sur son style personnel…
« Pour moi, le style et la mode sont spontanés. Je ne m’exprime pas particulièrement à travers des tenues et des matériaux. Les vêtements sont combinés avec d’autres choses. Si je me produis dans un club ou un festival, et que je suis dans un certain état d’esprit, je vais peut-être choisir des vêtements que je ne porte pas habituellement, car il y a tellement de facettes différentes de ma personnalité. J'écris principalement de la musique, et quand j'écris, je reste en pyjama à la maison. Je porte beaucoup de lin à la maison. Il n'y a rien d'amusant et de raffiné à la maison.»
On the band she admires…
“Everything about The Slits is iconic. How brave they are. How crazy they are. The musical influences they had and how they didn't care about being big, popular. I feel those are the things I need to keep in mind in this day and age approaching a new project, because you sometimes have to think about, "Oh, this is what people did before social media was a thing." Why do I do music? All The Slits wanted to do is to just make music and to perform the way they wanted. And they really didn't care what other people think. And I think it's very difficult to do that now as a musician, or any public figuring, you don't have that extent of freedom.”
Sur le groupe qu’elle admire…
« Tout ce qui concerne The Slits est emblématique. Leur courage. Leur folie. Leur influence sur la musique. Leur indifférence par rapport à la notoriété. J’ai l’impression que je dois garder ce genre de choses à l’esprit quand j’aborde un nouveau projet. Vous devez parfois penser : « Oh, c'est ce que les gens faisaient avant l’arrivée des médias sociaux ». Pourquoi je fais de la musique? Tout ce que The Slits souhaitait, c'était faire de la musique et jouer comme elles l’entendaient. Elles ne se souciaient vraiment pas de ce que les autres pensaient. Et c’est très difficile de faire ça maintenant en tant qu’artiste, ou toute autre figure publique, vous n'avez pas ce degré de liberté. »